En sortant du ciné j'ai été faire un tour dans le marais. A un moment une jeune fille m'a abordé en me disant "Excusez moi m'sieur (et là je me suis dit, qu'est-ce qu'elle va me demander), mais il faut que j'vous dise (et là je me suis dit, qu'est-ce qu'elle peut bien avoir à me raconter), votre corps il est vraiment magnifique, y a rien à jeter".
J'ai bien failli lui répondre que pourtant j'étais toujours célibataire et que je prendrais bien quelques plaquettes de chocolat pour remplacer mes abdos inexistants, mais je me suis contenté de rire et de dire "merci".
Et vous, vous auriez dit quoi à ma place? Moi je me suis juste dit que c'était "l'effet short" (oui, j'ai remarqué que les gens aiment bien mes jambes quand elles sont nues)
Puis j'ai été faire un tour du côté du carrousel du Louvre, avec l'idée derrière la tête de me trouver un mec à consommer sur place.
J'aperçois assez rapidement un jeune homme que je trouve plutôt à mon goût, je le suis, je descends derrière lui dans un endroit sombre et nous commençons à nous rouler des pelles. Puis il s'agenouille et se met à me sucer. Entre temps un troisième homme est apparu. Puis un quatrième. Au cinquième je me suis rhabillé et j'ai remonté les escaliers. Lui aussi.
Entre deux haies de connifères, je croise le regard d'un joli brun. Je m'approche, nous commençons à bavarder et il me dit "tu es bon". Interloqué je lui réponds "comment peux-tu le savoir tu ne m'as pas encore goûté", et là c'est lui qui me regarde d'un air interrogatif. J'apprends plus tard qu'en fait le Salvador est espagnol et qu'il voulait dire "beau" quand il a dit "bon". Le monsieur était prêt à venir chez moi, mais je ne voulais que du consommable sur place (il faut que je me lève demain matin, pas question de traîner au lit avec un bel hidalgo). Donc nous nous sommes souhaités une bonne fin de soirée...
Ensuite, alors que j'étais tranquillement assis sur un banc à regarder le grande roue illuminer la nuit, un homme passa devant moi. Et un quart d'heure après le Laurent m'avait déjà proposé un pacs et une vie commune en province (pardon, à La défense). Il a été un peu déçu quand nous nous sommes séparés et que je ne lui ai pas donné mes coordonnées, mais je lui ai dit que je serais probablement au Dépôt ce dimanche soir, et au Bunker mardi entre 23 heures et minuit. (je sais, ce n'est pas très élégant comme façon de rembarrer quelqu'un)
Il commençait à se faire tard, la nuit fraîchissait, quelques gouttes menaçaient, et je n'avais pas envie de passer toute la soirée dehors. J'ai aperçu un petit à lunettes au regard lubrique, je l'ai suivi dans un souterrain, il m'a sucé avec gourmandise puis tendu son cul. Sauf que je ne devais pas être le seul à être passé par là ce soir là, car j'avais l'impression de patauger et c'était tout distendu. Et franchement, quel ennui d'aller et venir dans un cul tout distendu. Finalement, au bout d'un temps qui m'a semblé interminable, j'en suis sorti, j'ai jeté ma capote, je me suis extirpé du groupe qui s'était formé et je me suis rhabillé.
Plus loin un grand jeune homme se faisait sodomiser avec ardeur, et je lui tendis ma bite qu'il se mit à sucer pendant que l'autre allait et venait en lui. Puis quand l'autre eut jouit et se fut retiré, il me proposa de prendre sa place, ce que je fis sans hésiter (juste le temps d'enfiler une capote, et hop). Et quel plaisir de ramoner un cul qui ne soit pas complètement distendu, avec des muscles anaux qu'on sent se resserer et se desserer contre soi! J'ai jouit, il a jouit, bla bla bla.
Le temps de prendre un vélib, de rentrer à la maison, et il était déjà deux heures passées. Et dire qu'il faut se lever demain et que je dois être à onze heures à Vincennes pour courir avec mon club!
Euh oui, c'est aussi ça ma vie. Je suis certain que vous préfèrez la votre...