A une époque elle vivait avec un homme. Cet homme était le secrétaire d'un parti politique français. Un jour cet homme l'a quittée. Mauvaise perdante, elle a décidé de lui pourrir la vie, et de casser son jouet, son parti politique. Elle a fait un putsch politique, et a réussi à représenter le parti aux élections suivantes.
Elle a perdu ces élections, ce qui n'a surpris personne. Mais la dame n'est pas bonne perdante, elle a crié sur les toits que ce n'était pas sa faute, que personne ne l'aimait, qu'on lui avait mis des batons dans les jambes. Elle ne s'est pas avouée battue.
Aux élections suivantes, des élections internes au parti pour élire le remplaçant de son ex-conjoint, elle s'est représentée. Elle a encore été battue. Mais elle est toujours aussi têtue, et va même jusqu'à prétendre que les élections ont été truquées, que c'est elle la vraie gagnante, que personne ne l'aime, mais qu'elle va se battre pour prouver qu'elle est la meilleure.
C'est vrai Marie-Ségolène, personne ne t'aime, personne ne veut de toi. Alors pourquoi tu ne te casses pas pour aller créer ton propre parti avec tes copains de récréation? En attendant tu nous pourris la vie et tu es une nuisance pour le paysage politique français. Par ta faute toute la gauche de ce pays se déchire et s'éparpille.
De là à penser que tu n'es qu'un espion à la solde de la droite il n'y a qu'un pas, ton obstination est destructrice. Marie-Ségolène, si tu étais vraiment une femme de gauche qui veut faire avancer le pays dans le bon sens, tu devrais aller élever des chèvres dans ton Poitou et laisser les grandes personnes travailler.
Commentaires