Parfois je me dis en constatant le nombre de notes que j'ai écrites sur ce blog et qui sont restées vierges de tout commentaire que je suis tout de même pourvu d'une énorme vanité pour continuer à écrire aussi régulièrement.
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Bah... Crois tu ça ait à voir vraiment...
Rédigé par : Olivier Autissier | 30/09/2009 à 22:17
Je trouve qu'il (oui toi Patrick-Antoine) n'a pas tort. ^^
Rédigé par : Matoo | 30/09/2009 à 22:23
Ne te vient-il pas à l'esprit que, parfois (souvent apparemment), la puissance de tes propos nous laissent tous sans voix ? :)
Rédigé par : Hubert | 30/09/2009 à 22:30
>Olivier. Bah un peu quand même, non? Est-ce qu'écrire en public n'est pas un peu penser que ça peut intéresser quelqu'un ce qu'on écrit?
>Matoo. La vanité t'habite aussi?
>Hubert. Euh, faut pas pousser quand même. Je sais que mes RH redoutent mes tracts syndicaux mais tout de même, j'écris aussi beaucoup de conneries sur ce blog.
Rédigé par : Patrick Antoine | 30/09/2009 à 22:57
Ben moi tout pareil !
Je persiste!
Rédigé par : mume | 01/10/2009 à 18:16
Bah parfois il n'y a rien à dire tout simplement!
Rédigé par : Coco | 02/10/2009 à 12:33
Rien que tenir un blog est signe d'une pointe de vanité, non ? Après si en plus tu scrutes le nombre de commentaires...
Rédigé par : orpheus | 04/10/2009 à 11:43
>Orpheus. Le nombre de commentaires me déconcerte et me déprime, les gens n'ont quelque chose à dire que quand j'écris des conneries...
Rédigé par : Patrick Antoine | 04/10/2009 à 23:37
Je comprends.
J'ai arrêté de me miner pour ça depuis longtemps. J'accepte qu'un lecteur n'ai pas envie de passer 5 minutes à articuler un commentaire sur un billet "refléchi" ou de compatir sur un sujet "sensible".
Mais bon, comme je ne blogue plus aussi intensement aussi...
Rédigé par : orpheus | 05/10/2009 à 09:00