Hier après-midi mon nez a décidé qu'il était temps de couler. Alors il a coulé. Encore et encore. Pas de fièvre cependant, juste le nez qui coule. Un simple refroidissement me suis-je dit, voilà ce que c'est que de courir en t-shirt au mois d'octobre sous prétexte qu'il fait doux, voilà ce que c'est que de faire du vélo sans manteau parce que l'air semble agréable. Sauf que. Sauf que j'étais quand même bien fatigué hier soir, et que je me suis couché bien avant minuit. Mais j'avais l'espoir que les tasses de thé à la vodka feraient leur effet pendant la nuit.
Ce matin j'ai été au boulot. J'ai vite compris que c'était une erreur, j'ai posé mon après-midi et je suis rentré me coucher. Parce qu'aujourd'hui, petite nouveauté, je suis fiévreux et courbattu. J'ai essayé de prendre rendez-vous avec mon médecin traitant, mais la secrétaire n'avait rien à me proposer avant samedi. Je n'ai pas insisté, ça ne sert à rien d'insister avec une secrétaire, j'ai dit bonsoir et j'ai raccroché. J'ai re-bu une tasse de café au whisky et j'ai fait une petite sieste.
Dans l'immédiat la seule question que je me pose c'est "vais-je aller au boulot demain?". On verra au réveil...
Tu verras déjà si tu parviens à te lever ou non. Quant au pneumocoque, il m'a semblé prudent quand j'ai fait le mien, ne voyant aucun intérêt en cas de grippe à tenter des complications éventuelles et fort inutiles.
Alors une bise pour accompagner ton thé.
Rédigé par : Olivier Autissier | 27/10/2009 à 21:18
>Olivier. Quel optimisme! Bien sûr que je vais parvenir à me lever demain!! (merci pour la bise)
Rédigé par : Patrick Antoine | 27/10/2009 à 22:09