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28/01/2011

Commentaires

Olivier Autissier

J'adore ça, quand ça dégouline de descriptions à n'en plus finir :)

loic

Ça se sent parfaitement que tu n'as pas aime et c'est un faible mot. Au contraire, j'ai trouve l'histoire et les descriptions fascinantes à la façon du Parfum. On ne peut aussi que remercier les écrivains d'utiliser la formidable richesse et de ne pas se contenter des 2000 mots utilisés dans certaines banlieues.

Patrick Antoine

>Olivier. En l'occurence dans ce roman les descriptions sont uniquement répugnantes (pas question de décrire un beau paysage ou une belle robe ou un beau château, mais que des trucs à faire vomir), c'est ce qui m'a gêné.
>Loic. Ok pour la richesse du langage, ce serait mal me connaître que penser que ce serait ça qui m'aurait dérangé, mais là c'était juste de l'étalage gratuit, et tout est sale, glauque, dégueulasse, dans ce roman. Pas une seule description positive!

Fab

En lisant ton billet j'ai admiré sa construction: de longues phrases pour décrier l'auteur et la chute en une phrase pour exprimer ton point de vue. Une jolie petite mise en abymes!

Patrick Antoine

>Fab. Euh... si c'est vrai c'est inconscient! (l'auteur m'aura contaminé à l'insu de mon plein grè?)

Kynseker

Je dois bien avouer qu'un peu, ça va mais trop... J'ai tenu jusqu'à la moitié après j'ai abandonné. Toute façon l'histoire n'avance pas, il y a des redites et le propos final est vain.

Également une grosse déception pour moi.

Alain lo Grelh

Je suis allé jusqu'au bout.... avec difficulté mais je dois dire qu'il rend bien une atmosphère même si cette débauche de descriptions finit par lasser. Ce monsieur a un problème avec les excréments et la pourriture :-)

Patrick Antoine

>Kynseker. Pour la fin on a l'impression que l'auteur ne sait pas où va son histoire. Il a un début, il se perd dedans, et après il n'arrive plus à faire avancer son histoire, alors il la saborde d'une fin à la limite de l'absurde
>Alain. Ca oui, elle est bien rendue l'atmosphère! A force de répétitions on finit par comprendre...

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